22 MARS 2018 : NI OUBLI, NI PARDON ! |
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Le 22 mars 2018 a vu défiler partout en France des centaines de milliers de personnes contre les réformes du gouvernement. Fonctionnaires, cheminot·e·s, étudiant·e·s et retraité·e·s étaient appelé·e·s à une journée de grève et de manifestation par sept syndicats (CGT, FO, FSU, CFTC, Solidaires, FA-FP et CFE-CGC) pour défendre les services publics, les salaires, les statuts, l'emploi ainsi que les retraites. Concernant l’enseignement supérieur et la recherche, une forte mobilisation était déjà en cours depuis plusieurs semaines dans les universités et les lycées contre La loi « Vidal » sur l’Orientation et la Réussite des Étudiants et la réforme du baccalauréat.
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Communiqué des organisations syndicales et de jeunesse - CGT, FO, Solidaires, FSU, UNEF, UNL, UNL SD |
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MANIFESTONS LE 19 MARS
14 HEURES A MONTPELLIER
Départ Léon Blum, arrivée Peyrou
La situation sociale en France est marquée par l’expression diverse et multiple d’un mécontentement social grandissant, par l’aspiration à une véritable justice sociale et fiscale, par la dénonciation des reculs sur les libertés publiques comme individuelles. Le mouvement des gilets jaunes est l’expression récente de cette profonde crise sociale.
Alors que les annonces faites par le Président de la république ou son gouvernement n’ont pas répondu aux attentes, alors que des lois portant atteinte aux libertés syndicales et de manifester sont votées, que les prix des produits de consommation courante continuent à la hausse, que la suppression de l’ISF n’est pas remise en cause, que le chômage progresse… En parallèle, le patronat, particulièrement celui des grands groupes, porte lui aussi une grande responsabilité dans l’exaspération sociale. C’est dans les entreprises et dans les services publics que les salarié-es sont considéré-es comme un coût et non pour ce qu’ils/elles sont : une richesse. C’est là que les conditions de travail se dégradent.
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Retrait du projet de hausse des frais d'inscription pour les Ă©tudiants |
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Conformément à l’appel du 18 janvier, les organisations signataires appellent :
A se mobiliser
- · Mercredi 13 février, 12h30: rassemblement sur le site Richter (UM),
- · Mercredi 20 février, 12h15 : rassemblement sur le site Saint-Charles (UPV),
- · Mercredi 27 février, 12h30 : projection-débat de « Etudiants, l’avenir à crédit », site Triolet (UM),
- · Mardi 12 mars, 12h15 : rassemblement devant le Rectorat, rue de l'Université.
Signataires nationaux : A&I-UNSA, CGT-FERCsup, CGT-INRA, FAGE, FCPE, FO-ESR, SGEN-CFDT, SGEN-CFDT recherche EPST, SNASUB-FSU, SNCS-FSU, SNEP-FSU, SNESUP-FSU, SNPTES, SNTRS- CGT, Solidaires Etudiant·e·s, SUD Education, SUD recherche EPST, UNEF, UNSA ITRF-BI-O
Premiers signataires à Montpellier : CEI, CGT des Universités de Montpellier, FO ESR, SCUM, SNTRS CGT, SNESUP-FSU, SNPTES, SUD Education, SUD recherche EPST, UNSA |
LES PERSONNELS DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE ONT TOUTES LES RAISONS DE MANIFESTER LE 5 FÉVRIER |
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Compte tenu de la situation exceptionnelle, les organisations signataires réunies mercredi 30 janvier appellent à construire la mobilisation sur des revendications communes avec toutes celles et ceux qui luttent aujourd’hui. Il y a urgence, à faire grandir le mouvement social pour plus de justice sociale, environnementale et fiscale.
Les organisations signataires s’opposent à l’austérité budgétaire imposée par le MESRI. Celle-ci conduit d’une part à une baisse de l’emploi scientifique et à une détérioration de nos conditions de travail et d’autre part à imposer une hausse des frais d’inscription dans les formations de l’enseignement supérieur pour faire
porter la charge du financement sur les jeunes et leur famille.
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Détricotage de l'enseignement supérieur par la ministre |
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La ministre F. Vidal offre le grade de licence aux bachelors - En marche vers la licence payante et la baisse de financement des IUTs
Madame la Ministre Frédérique Vidal vient de saisir deux présidents d’université, Jacques Biot et Patrick Lévy, de la question de la reconnaissance des bachelors au grade de licence, lequel est une condition nécessaire de l’accès au cycle master. Il s'agit de proposer « des pistes pour définir un dispositif d’évaluation » des bachelors et « examiner les conditions de délivrance d’un grade de licence qui pourrait permettre à certains de ces diplômes d’établissement de gagner en visibilité et en attractivité ».
Au moment même où la concertation professionnalisation initiée par la Ministre et pilotée par R. DALLE (ADIUT) et F. GERMINET (CPU) va rendre ses conclusions, cette annonce est une provocation !
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