Motion proposée au CEVU (avril 2011) |
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Motion proposée au Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire
SĂ©ance du 14 Avril 2011
( version pdf)
Les membres du Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire (CEVU) ont pris connaissance de l’existence et du contenu d'un texte que le Vice Président du Conseil d'Administration (VPCA) a envoyé le 21 mars à tous les directeurs de composantes à la suite de la délibération du CEVU du 17 mars.
Ils déplorent que ce texte qui les concerne directement ne leur ait pas été communiqué officiellement, ce qui témoigne d’une attitude méprisante du VPCA à leur égard.
Par ce texte, il apparaît que le VPCA a décidé seul de déposséder le CEVU de ses prérogatives les plus importantes concernant la gestion des études, de l’offre de formation et de l’animation de la vie universitaire. De facto, il place le CEVU sous tutelle du Conseil d’Administration (CA).
Les membres du CEVU interpellent les membres du CA, au nom de qui il semble que la décision du VPCA a été prise et souhaitent leur transmettre les points suivants :
- Le CEVU est pleinement conscient des responsabilités nouvelles qui incombent à notre université confrontée à de nouveaux modes de fonctionnement et de gestion. Contrairement à l’appréciation du VPCA, il n’a nullement le sentiment d’avoir ignoré les orientations générales décidées par la direction de l’université : Présidence et Conseil d’Administration. Dont il ne remet pas cause les prérogatives en termes de budget.
- Le CEVU ne peut accepter d’être privé de ses missions essentielles.
- Il revendique avec force de pouvoir continuer à délibérer, à émettre des propositions et des avis sur tous les points qui touchent aux études et à la vie universitaire.
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Montpellier le 13 avril 2011.
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Compte-rendu de mandat (2008-2012) des Ă©lus SNESup-FSU
des conseils centraux sortants
(version pdf)
Le prochain renouvellement des conseils centraux de l’université Montpellier 2 est l'occasion, pour les représentants SNESup-FSU sortants, de présenter leur action au sein de ces instances. Rappelons que le scrutin de 2008 avait conduit à l'élection de Sandrine Bardet au CEVU et Patrick Cañadas au CS, rejoints à la faveur de deux élections partielles par Catherine Guasch en 2010 (Patrick Cañadas étant alors élu au CA) ainsi que Benoît Gibert et Eric Villagordo à l'automne dernier. En outre, à la demande du SNESup-FSU, Sandrine Bardet s'est portée candidate et a été élue vice-présidente déléguée auprès du vice-président du CEVU.
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Professions de foi - 3 conseils - 2012 |
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Positionnement général de la FSU sur les élections 2012 |
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(version pdf)
La loi LRU a introduit, en plus de ses principes de concurrence et de dérèglementation, des modes de composition des conseils et d'élections conduisant à réduire la diversité des sensibilités dans la représentation des personnels. Les élections précédentes de 2008 ont été marquées par une bipolarisation extrême de la campagne (perdurant par la suite) qui a laminé notamment la représentation syndicale des personnels enseignants-chercheurs et chercheurs, non seulement au CA, mais aussi, par ricochet au CS et au CEVU. Rappelons qu'au CA le mode de scrutin dans les collèges A et B est identique à celui des élections municipales avec une prime majoritaire à la liste arrivée en tête ; sur 7 sièges à pourvoir elle en emporte au moins 5 ; les autres listes se partagent, au mieux, les 2 sièges restants. Ce n'est pas le cas au CS et au CEVU où le scrutin reste basé sur une répartition des sièges à la proportionnelle, permettant la représentation des différentes sensibilités. La liste « Une université en mouvement, attachée à ses missions » présentée par le SNESup-FSU n'a donc pas eu de siège au CA en 2008. Le SNESup-FSU a obtenu un 1 seul siège en 2010, soit 2 ans plus tard, à l'occasion d'une élection partielle dans le collège B.
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Quels enjeux pour l’enseignement et la recherche sur le site de Montpellier et la région Languedoc-Roussillon ?
L’Université Montpellier 2 a la particularité d’avoir un lien très fort avec pratiquement tous les EPST (CNRS, INSERM, IRD, INRA, INRIA) et EPIC (IFREMER, CEA, CIRAD). Ceci est dû à la forte implantation locale et régionale de ces organismes et à leur propre politique scientifique qui a conduit à l’intégration de la grande majorité des enseignants-chercheurs et des chercheurs au sein d’UMRs dépendant de plusieurs tutelles.
Le SNCS et le SNESUP sont favorables à cette politique, qui a conduit à une reconnaissance nationale et internationale des recherches menées sur le site de Montpellier, et à des enseignements de qualité.
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